Série de photographies d’immeubles travaillés par l’artiste afin de créer un effet à la fois graphique et une perte de repère visuel.

Ici l’artiste questionne l’uniformisation des sociétés modernes dans lesquelles les individualités humaines se confondent avec une globalisation qui tend au conformisme.

La singularité de chacun, son ADN, disparaît au profit d’une modernité toujours plus exigeante dans laquelle le sujet se délite, laissant place à une masse informe. Apparaît alors un reflet dysharmonique de la contemporanéité, ces buildings renvoyant à la société une image « dysmorphée » de son propre corps social.