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À PROPOS

Déclaration d'intention

Le travail de l’artiste franco-israélienne Elodie Abergel s’inscrit depuis plusieurs années dans différents mouvements de l’art contemporain :  art contextuel, art féministe, art numérique, art conceptuel…

Après une formation aux beaux-arts de Nantes, elle s’installe à Jérusalem en 2005 afin de poursuivre ce qu’elle a nommé des « Territoires de Partages » (T.D.P.)* . Pendant près de 10 ans, en parallèle d’une création artistique foisonnante, elle s’engage auprès d’associations pour la paix et la coexistence entre les peuples. La place centrale de l’identité et la question du territoire, des frontières visibles ou non est au cœur de son travail. A travers ses œuvres, elle dépeint avec humour et tendresse le conflit proche-oriental et met l’accent sur « la répétition » pour souligner l’absurdité de la situation israélo-palestinienne.

A partir de 2015 et jusqu’à aujourd’hui, Elodie travaille également aux États Unis et en France. De Jérusalem à Paris en passant par New-York, elle développe avec ses œuvres et ses actions artistiques, un art de l’actuel, offrant un regard humaniste, poétique et critique sur les sociétés contemporaines : la situation politique, la place des femmes, la crise migratoire, les dérives de la société de consommation, la déshumanisation du travail, les addictions, la crise sanitaire...

Pour se faire, elle utilise des matériaux ou objets de son environnement qu’elle détourne et différents médiums (photographie, installation, vidéo, performance…) en fonction de ce qu’elle désire exprimer. Elle récolte également de la matière notamment photographique afin de composer « par touche » des œuvres numériques.

Elle se définit comme une artiste engagée, une « artiviste » qui « utilise le territoire comme un atelier à ciel ouvert et l’immersion au cœur de la société comme source d’inspiration afin de développer un art qui se veut aussi « participatif».

* Territoires de partage (T.D.P) : principe de création né en 2005 qui consiste à mettre en place une installation artistique avec laquelle des personnes de différentes appartenances religieuses et culturelles interagissent. Les traces de ces échanges sont retranscrites plastiquement et engendrent de nouvelles formes, un nouveau territoire, ce qui donne naissance à l’œuvre finale. Les T.D.P. s’inscrivent dans ce que Nicolas Bourriaud nomme « l’esthétique relationnelle ».

Co-construction

Déborah Abergel, psychologue clinicienne spécialisée en psychologie interculturelle, possède une double formation en psychanalyse et en anthropologie. Elle exerce sa profession à Paris depuis plus de 20 ans en libéral et au sein de différentes associations d’aides aux migrants, de jeunes en difficultés sociales et en situation de handicap. En parallèle, elle développe une pratique artistique personnelle, rédige des textes pour différents artistes et contribue à plusieurs projets de co-création.

 

D’une collaboration à la co-construction artistique, les sœurs Abergel ont développé un travail interactif entre Paris et Jérusalem à partir de 2007. La démarche complémentaire qu’elles ont initiée prend forme en 2012 à travers l’exposition « Etat-limite/Limite d’état ».

 

Certaines œuvres naissent des échanges entre elles : à partir d’une « idée visuelle » qu’Elodie initie, elles développent une réflexion commune, imaginent des dispositifs et Elodie réalise les œuvres sur le terrain, n’hésitant pas à se mettre en scène dans des performances et des vidéos. D’autres œuvres sont entièrement imaginées et réalisées par Elodie.

 

Déborah rédige également l’ensemble des textes qui accompagnent les œuvres. De la conception à la présentation, elles co-construisent ensemble une œuvre empreinte d’humanisme, un art engagé.

A partir de 2015 et jusqu’à aujourd’hui, Elodie travaille également aux États Unis et en France. De Jérusalem à Paris en passant par New York, elle développe avec ses œuvres et ses actions artistiques, un art de l’actuel, offrant un regard humaniste, poétique et critique sur les sociétés contemporaines : la situation politique, la place des femmes, la crise migratoire, les dérives de la société de consommation, la déshumanisation du travail, les addictions, la crise sanitaire...

 

Pour se faire, elle utilise des matériaux ou objets de son environnement qu’elle détourne et différents médiums (photographie, installation, vidéo, performance…) en fonction de ce qu’elle désire exprimer. Elle récolte également de la matière notamment photographique afin de composer « par touche » des œuvres numériques.

 

Elle se définit comme une artiste engagée, une « artiviste » qui « utilise le territoire comme un atelier à ciel ouvert et l’immersion au cœur de la société comme source d’inspiration afin de développer un art qui se veut aussi participatif ».

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Association Zellige Paris-Jerusalem

L’association Zellige Paris-Jérusalem (ZPJ), a été créée à Paris en 2010 par Elodie Abergel  pour soutenir les actions de médiations interculturelles et artistiques à Jérusalem.

 

Elle offre, par l’action artistique entre israéliens et palestiniens, l’opportunité d’une rencontre humaine et interculturelle aconflictuelle. L’art devient ainsi outil de médiation et de transmission entre les peuples.

 

L’équipe de Zellige a réalisé plusieurs Territoires de Partages avec les populations israélienne et palestinienne selon des dispositifs mis en place par l’artiste Elodie Abergel.

Territoires de Partages (TDP)

L'objectif des territoires de partages est de réunir, autour d’installations artistiques, des personnes de différentes appartenances religieuses et culturelles. Ils permettent de construire des espaces, artistiques et interactifs, mettant en scène les échanges des participants au-delà des conflits qui les opposent.

 

Les « traces » de ces échanges sont ensuite retranscrites plastiquement. Il s’agit là d’un principe de création, d’une règle du jeu. Les participants, par leurs actes d’échanges, modifient ce territoire. Ils créent ainsi un territoire différent de celui proposé initialement. Les traces retranscrites de ces échanges engendrent de nouvelles formes qui font l’objet d’une ré-interprétation, aboutissant à l’œuvre finale.

 

Certains T.D.P., déjà réalisés, sont issus du « street art » c’est à dire de la mise en place de dispositifs artistiques dans la rue, en faisant directement appel aux passants, israéliens et palestiniens. D'autres sont mis en place en partenariat avec des institutions Israéliennes et Palestiniennes. 

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